Un capitanat à trois têtes !

Un capitanat à trois têtes !


Peu de nouveau visages ont rejoint l’équipe à l’intersaison et le groupe rochelais se connaît bien. Dans ce contexte, plusieurs leaders ont émergé aux yeux du staff, qui souhaite tirer profit de cette situation. C’est pourquoi le Manager Jono Gibbes a décidé de confier le capitanat et le leadership à trois hommes plutôt qu’un.

« Parce qu’il représente la stabilité, la continuité et les valeurs du Club, Romain Sazy s’est imposé depuis plusieurs saisons en tant que leader. Sa longévité au Club et son niveau d’expérience font de lui un homme très respecté dans le vestiaire. Sa volonté de rester au plus haut niveau, son abnégation et son exigence au quotidien lui permettent de mener le groupe vers l’avant par les mots et les actes. C’est un joueur qui prend beaucoup de responsabilités naturellement mais qui ne peut pas le faire tout seul » explique Jono Gibbes. « Victor Vito, joueur de classe mondiale, apporte de la confiance dans le groupe. C’est un leader durant toute la semaine et pendant les matches. Le capitanat est naturel pour lui. La combinaison Romain-Victor est bonne. Le rôle de capitaine ne dure pas que les 80 minutes du match. Il y a le rôle dans le groupe, au quotidien… et dans ce cas, les deux joueurs se complètent parfaitement. »

Avec les tauliers Romain Sazy et Victor, c’est un troisième joueur qui s’impose comme un leader naturel selon le Manager rochelais. « Grégory Alldritt a le respect du groupe. C’est un joueur de niveau international, il est jeune mais déjà très mature. Greg représente la nouvelle génération du Club, c’est un bon exemple pour les plus jeunes mais il est aussi respecté par les plus « vieux ». Il est légitime dans ce nouveau rôle de capitaine ».

Romain Sazy, Victor Vito et Grégory Alldritt formeront donc le trio de capitaines des Jaune et Noir pour la saison 2020/2021 !

« Les trois joueurs ont des ressources différentes mais très importantes. Ils représentent beaucoup dans le groupe. L’objectif est de prendre le meilleur de chacun d’eux. » conclut Jono Gibbes.